La Morale de l’histoire

Cette histoire commence un dimanche matin. Vous êtes chez vous.
Aujourd’hui, c’est votre anniversaire.
Soudain, votre téléphone sonne.

« Surprise ! »
C’est votre opérateur téléphonique qui a un cadeau pour vous : il vous offre le petit-déjeuner. Des croissants chauds vous attendent à la boulangerie la plus proche.

— « Très bien, je vous remercie !, vous dit la voix au bout du fil. Et enfin, une dernière question : avez-vous votre permis de conduire ? »

« Parfait, {{userData.nom}} ! Vous pouvez y aller ! Le mot de passe à utiliser à la boulangerie sera votre prénom. »
Ça tombe bien, vous aviez envie de croissants ce matin et la boulangerie est proche de chez vous.
Ni une ni deux, vous voilà donc dans votre hall d’immeuble.

« Parfait, {{userData.nom}} ! Vous pouvez y aller ! Le mot de passe à utiliser à la boulangerie sera votre prénom. »
Ça tombe bien, vous aviez terriblement envie de croissants, ce matin. Et en plus, la boulangerie est à moins de 500 mètres de chez vous.
Ni une ni deux, vous voilà donc dans votre hall d’immeuble.

Vous ouvrez un œil. Cette fois, vous êtes de retour dans le monde réel – dans votre salon pour être précis. Le bruit qui vous a sorti des limbes est la sonnerie de votre téléphone.

C’est votre opérateur téléphonique... qui veut vous offrir des croissants !

Encore dans le brouillard à cause du rêve que vous venez de faire, vous avez une impression de « déjà vu ». Mais vous vous dites qu’un petit-déjeuner vous remettra les idées en place.
Ni une ni deux, vous voilà donc dans votre hall d’immeuble.

Mais alors que vous vous apprêtez à sortir par la porte cochère, il vous semble entendre un bruit derrière vous.
Que faites-vous ?

Vous retenez la lourde porte de l’immeuble pour laisser passer une vieille dame. Elle vous remercie chaleureusement de votre gentillesse.ne vous adresse pas un mot de remerciement.

D’un rapide coup d’œil par-dessus votre épaule, vous constatez qu’il y avait bien quelqu’un derrière vous : une vieille dame qui se débat tant bien que mal avec la lourde porte de l’immeuble.

Vous voici ensuite dans la rue. Il fait un temps magnifique. Après quelques mètres dans la direction de la boulangerie, votre attention est soudain attirée par un objet sur le trottoir...

Ce n’est pas votre spécialité, mais vous remarquez tout de même qu’il s’agit manifestement d’un bijou très précieux. Quelle chance !
Vous l’empochez et poursuivez votre chemin. Il s’agit d’une pièce de deux euros. Elle brille comme si elle vous faisait de l’œil. Le début de la fortune !
Vous la ramassez et poursuivez votre chemin. Un... billet de 100€ ?! Quelle aubaine ! En l’examinant, vous remarquez qu’il a une particularité : une petite marque rouge dessinée au feutre.
Vous l’empochez et poursuivez votre chemin. ...mais ce n’est en fait qu’un vieux prospectus sans intérêt. Vous le jetez à la poubelle et continuez votre chemin.

Alors que, plus loin, vous passez près d’un mendiant, vous remarquez qu’il est ivre, agressif.
Que faites-vous ? Alors que, plus loin, vous passez près d’un mendiant, vous remarquez qu’il est très jeune. C’est en fait un enfant.
Que faites-vous ? Alors que, plus loin, vous passez près d’un mendiant, celui-ci vous interpelle en vous appelant par votre prénom :
- « Hé {{userData.nom}} ! Tu te souviens de moi ? On était ensemble en CM2. »
Que faites-vous ?

Le mendiant vous remercie chaudement. Dans la foulée, comme vous êtes de bonne humeur, vous engagez la conversation.

Le mendiant semble ne croire qu’à moitié à votre promesse. Dans la foulée, comme vous êtes de bonne humeur, vous engagez la conversation.

Quelques instants plus tard, le mendiant vous demande de bien vouloir garder ses affaires car il a une course à faire. Il sera rapide, vous promet-il.

Vous gardez donc les affaires du mendiant.
Votre vieille voisine, qui passait par là, vous aperçoit sans vous reconnaître. Pensant que vous faites la mendicité, elle dépose {{userData.mendiant_depose}} dans la casquette posée par terre.
Que faites-vous ?

N’ayant trouvé personne pour garder ses affaires, le mendiant s’est absenté.
Votre vieille voisine, qui passait par là, s’approche alors discrètement. Elle regarde le contenu de la casquette du mendiant posée à terre…

Et soudain, avec une vivacité dont vous ne l’auriez pas crue capable, elle y prend {{userData.mendiant_depose}}.
Que faites-vous ?

Comme il se fait tard – et que, soyons honnêtes, vous avez hâte de vous délecter des fameux croissants – vous décidez de continuer votre chemin.
Vous avez à peine fait quelques pas que…

Vous apercevez le mendiant qui s’enfuit, et un instant plus tard, des policiers qui le poursuivent.
Vous voyez le mendiant se cacher.

Un policier arrive alors à votre hauteur et vous demande si vous savez où il est passé.
Que dites-vous ?

Le mendiant revient à ce moment-là, vous voit empocher le don... et se met aussitôt à hurler : « Au voleur ! »
Les passants se tournent vers vous. Votre vieille voisine a disparu.
Que faites-vous ?

Quelques explications confuses plus tard, et après avoir rendu l’objet au mendiant, vous continuez votre chemin.

Le policier n’a pas l’air d’humeur à rire. Il vous pose à nouveau la question et vous comprenez qu’il vaut mieux lui répondre.
Que faites-vous ?

Le policier vous répond qu’il a fugué et que ses parents le cherchent. Le policier vous répond qu’il a agressé une vieille dame. Le policier vous répond qu’il a agressé une vieille dame.
Que faites-vous ?

Le policier vous dévisage, irrité. Il vous demande alors de vider vos poches et de lui présenter vos papiers.
À la vue de votre billet de 100 €, il reconnaît la marque rouge. Il reconnaît immédiatement le bijou que vous sortez de votre poche. Il vous laisse ensuite continuer votre chemin, non sans vous avoir fait la morale sur vos devoirs de citoyen. Il vous laisse ensuite continuer votre chemin, non sans vous avoir fait la morale sur vos devoirs de citoyen.

Il se trouve que quelques minutes auparavant, {{userData.star}} a signalé au commissariat le vol d’un billet de ce montantde ce bijou, facilement identifiable puisque marqué de la sorte.
Les policiers procèdent donc à votre arrestation.

Vous reprenez votre périple en direction de la boulangerie. Mais alors que vous traversez au passage piéton sans regarder, une voiture de sport rouge, qui vient de brûler un feu vous frôle.

Vous reprenez votre périple en direction de la boulangerie. Mais alors que vous traversez au passage piétons sans regarder, une voiture de sport rouge, qui vient de brûler un feu, vous frôle.

Heureusement, de l’autre côté de la rue, c’est enfin la boulangerie. Un croissant chaud devrait vous remettre de vos émotions !

Alors que vous faites la queue, votre vieille voisine {{userData.vieille_dame}} tente de vous doubler. Vous lui lancez un coup d’œil, mais elle fait semblant de ne pas le voir. Sa technique est bien rodée !
Que faites-vous ?

Encore un client et c’est votre tour !
Mais tout à coup, vous entendez un crissement de pneus dans la rue : la voiture rouge qui a failli vous écraser se gare sur une place handicapé... Mais tout à coup, vous entendez le bruit d’un moteur qu’on éteint dans la rue : la voiture rouge que vous avez croisée plus tôt se gare en douceur devant la boulangerie...

Plus qu’un client et c’est votre tour !
Mais tout à coup, vous entendez un crissement de pneusle bruit d’un moteur qu’on éteint dans la rue : la voiture rouge qui a failli vous écraser se gare sur une place handicapéen douceur devant la boulangerie...

Et c’est {{userData.star}} qui en descend !

Depuis le temps que vous rêviez de l’apercevoir en vrai !!! Vous êtes extatique.
{{userData.star}} entre dans la boulangerie avec un grand sourire et double tout le monde, y compris votre vieille voisine.et demande si, exceptionnellement, il est possible de doubler tout le monde.
Que faites-vous ?

Avec jovialité, {{userData.star}} annonce à la cantonade que c’est son anniversaire. Tout le monde rit et lui adresse de chaleureuses félicitations, vous y compris.

Non sans une certaine irritation, {{userData.star}} annonce à la cantonade que c’est son anniversaire.
Tout le monde lui adresse des félicitations et vous sentez peser sur vous des regards lourds de reproches.

{{userData.star}} se lance alors dans la commande d’une tonne de gâteaux.
Mais au moment de payer, ses poches sont vides. {{userData.star}} vous demande alors de régler à sa place. Il y en a pour 100 euros. Son agent vous remboursera.

La situation est étrange, mais avoir l’occasion d’adresser la parole à une personne que vous adulez depuis si longtemps l’est tout autant.
Que faites-vous ?

Vous payez la commande de {{userData.star}} avec le billet trouvé. Quelle chance d’avoir l’occasion de dépanner votre idole !
Mais soudain… Vous payez la commande de {{userData.star}}. Quelle chance d’avoir l’occasion de dépanner votre idole !
Ensuite, vous récupérez vos croissants gratuits et vous sortez de la boulangerie en compagnie de {{userData.star}}, tout sourire ! Vous payez la commande de {{userData.star}}. Quelle chance d’avoir l’occasion de dépanner votre idole !
Ensuite, vous récupérez vos croissants gratuits et vous sortez de la boulangerie en compagnie de {{userData.star}}, tout sourire ! Vous payez la commande de {{userData.star}}. Quelle chance d’avoir l’occasion de dépanner votre idole !
Ensuite, vous récupérez vos croissants gratuits et vous sortez de la boulangerie en compagnie de {{userData.star}}, tout sourire !

{{userData.star}} reconnaît la marque dessus : c’est sa signature ! {{userData.star}} a dédicacé ce billet un peu plus tôt, avant de le donner à un mendiant. Vous l’avez sûrement volé !
Que faites-vous ?

Un autre client paie la commande de {{userData.star}}, qui repart sans un regard pour vous.
Vous donnez ensuite votre prénom à la boulangère qui vous offre, comme prévu, des croissants chauds. Ils sentent délicieusement bon.

Vous sortez de la boulangerie et, incapable de résister, vous mordez dans un des croissants. Mais…

vous avalez de travers et commencez à vous étouffer ! Vous essayez d’appeler au secours, en vain : vous êtes incapable de parler.

Vous expliquez la situation à {{userData.star}}, qui ne semble pas vous croire complètement.
Vous payez néanmoins sa commande avec le billet.

Puis, vous récupérez vos croissants gratuits en donnant votre prénom à la boulangère et vous sortez de la boulangerie. Un certain malaise plane. Comment faire pour vous rattraper aux yeux de {{userData.star}} ?

Vous sortez précipitamment de la boulangerie, mais deux policiers en patrouille qui passaient par là vous arrêtent.
Devant les accusations de {{userData.star}}, ils décident de vous placer en garde à vue.

Une fois sur le trottoir, {{userData.star}} vous propose de vous emmener en voiture chez son agent pour vous rembourser.
Que faites-vous ?

Vraiment ? Vous êtes sur le point de laisser filer l’occasion rêvée de passer un peu plus de temps avec votre idole… Une occasion qui ne se représentera sûrement jamais.
Vous confirmez ?

Alors que vous rentrez à pied, votre chemin croise à nouveau celui du mendiant.
La délicieuse odeur qui émane de votre sac embaume toute la rue.
Que faites-vous ?

Alors que vous arrivez devant sa superbe voiture de sport, {{userData.star}} vous demande de bien vouloir conduire à sa place.

Dès que vous sortez de la place de parking, vous vous rendez compte que la voiture est en fait un bolide. N’ayant pas l’habitude de conduire un véhicule si puissant, vous vous efforcez d’y aller doucement.

Au bout d’un moment, {{userData.star}} sourit de votre prudence et vous rassure : la voiture est impressionnante mais se conduit très bien. Pourriez-vous aller un peu plus vite ?

Avez-vous vraiment envie de contrarier une célébrité si éminente ?
Une célébrité dont la réputation n’est plus à faire ?
Une célébrité dont vous êtes totalement fan ?
Vraiment ?

Le mendiant vous remercie.
Vous poursuivez ensuite votre chemin jusqu’à arriver en face de chez vous. Vous n’avez plus que la rue à traverser, quand vous apercevez une voiture de sport rouge qui déboule à toute allure.

Le mendiant se plante devant vous et vous rappelle votre promesse. Vous l’ignorez sans vergogne.
Vous poursuivez ensuite votre chemin. Vous n’avez plus que la rue à traverser quand vous apercevez une voiture de sport rouge qui déboule à toute allure.

Juste en bas de chez vous, alors que le feu est {{userData.feu_rouge}} pour les piétons, un groupe de cinq {{userData.groupe_enfants}} traverse.
Malheureusement, votre vitesse excessive et votre inexpérience de la voiture font que vous n’arriverez pas à vous arrêter à temps.

{{userData.star}} vous fait les yeux doux et insiste : on l’attend ailleurs très bientôt, il faut se dépêcher.
Avez-vous vraiment le courage de résister ?

Ruminant votre refus, {{userData.star}} conduit très sportivement. Vous vous cramponnez à votre siège.
Malheureusement, au niveau du passage piéton devant chez vous, l’inévitable se produit : {{userData.star}} finit par percuter un piéton qui était en train de traverser.

Ruminant votre refus, {{userData.star}} reprend le volant et conduit très sportivement. Vous vous cramponnez à votre siège.
Malheureusement, au niveau du passage piéton devant chez vous, l’inévitable se produit : {{userData.star}} finit par percuter un piéton qui était en train de traverser.

Alors que l’oxygène vient à manquer, tout devient sombre. Vous entendez votre cœur battre de plus en plus vite à vos oreilles, puis c’est le noir complet.

Soudain, le mendiant, comme sorti de nulle part, se place derrière vous, et d’une manœuvre de Heimlich assurée, vous aide à expulser le morceau de croissant.
Vous respirez à nouveau : il vient de vous sauver la vie.

Deux policiers alertés par vos cris approchent, et à leur vue, le mendiant s’enfuit.
Titubant légèrement, vous rentrez chez vous. Mais alors que vous n’avez plus qu’une rue à traverser, vous apercevez une voiture de sport rouge qui déboule à toute allure.

Soudain, {{userData.star}}, qui n’avait pas encore repris sa voiture, se rue vers vous. Sa maîtrise des gestes de premiers secours vous sauve la vie.

Dans la foulée, {{userData.star}} vous propose de vous raccompagner.
Que faites-vous ?

Vous faites de votre mieux pour l’éviter...

Vous pourriez les éviter en donnant un coup de volant vers la droite ou vers la gauche. Mais sur le trottoir de gauche, il y a {{userData.trottoir_gauche}}, et à droite {{userData.trottoir_droite}}.
Que faites-vous ?

Un instant avant le choc, vous vous apercevez avec horreur que la personne que vous allez percuter est en fait un proche. Il n’est peut-être pas trop tard pour donner un nouveau coup de volant vers le groupe de cinq.
Le faites-vous ?

Un instant avant le choc, vous vous apercevez avec horreur que la personne que vous allez percuter est en fait un proche. Il n’est peut-être pas trop tard pour donner un nouveau coup de volant vers le groupe de 5.
Le faites-vous ?

L’accident est terrible.

L’accident est terrible.

Mais sans même prendre le temps de descendre de la voiture pour évaluer les dégâts, {{userData.star}} vous demande de prendre la fuite.

Grâce à un réflexe remarquable, vous évitez la voiture. Vous avez juste le temps d’apercevoir le visage de {{userData.star}} derrière le volant. Malgré l’admiration que vous lui portez, son comportement vous déçoit.

Vous rentrez chez vous vous délecter d’un petit-déjeuner vraiment, vraiment mérité.

Plus tard, vous êtes pris d’une irrésistible envie de dormir. Vous entendez votre cœur battre de plus en plus vite à vos oreilles, puis c’est le noir complet.

...mais vous n’êtes pas assez rapide.
Le choc est très violent et vous sentez vos os craquer.

Vous apercevez {{userData.star}} qui descend de la voiture, vous regarde en grimaçant, puis prend la fuite.

Alors qu’une foule se forme, vous entendez votre cœur battre de plus en plus vite à vos oreilles, puis c’est le noir complet.

Vous avez à peine fait quelques mètres que...
En travers de la route, deux policiers en patrouille vous menacent de leur arme.
Cette fois, vous vous arrêtez et ils vous emmènent directement au commissariat.

{{userData.star}} vous demande alors d’assumer la responsabilité de l’accident pour éviter que son nom ne soit associé à un scandale. Vous aurez les meilleurs avocats et un fort dédommagement, c’est promis.

Vous n’avez pas le temps de lui répondre qu’un attroupement se forme. Puis la police arrive.
Vous réalisez alors que, dans la confusion, {{userData.star}} a disparu.

Un policier vous interroge.
Que dites-vous ?

La police vous accuse d’homicide involontaire. Vous risquez plusieurs années de prison.
Sans parler du retrait de permis.Sans parler du fait que vous conduisiez sans permis.
Vous tentez d’expliquer que ce n’est pas vous qui étiez au volant, mais sans preuve, vous ne convainquez pas les policiers.

La police vous accuse d’homicide involontaire. Vous risquez plusieurs années de prison.
Sans parler du retrait de permis.Sans parler du fait que vous conduisiez sans permis.
Vous tentez d’expliquer que ce n’est pas vous qui étiez au volant, mais sans preuve, vous ne convainquez pas les policiers.

Plus tard, l’avocat de {{userData.star}} se présente au commissariat pour signaler le vol de son véhicule. Vous écopez donc, en plus du reste, de la charge de vol de voiture.
Vous risquez de ne pas sortir de prison avant très longtemps.

Un peu plus tard, l’avocat de {{userData.star}} se présente au commissariat.
Il vous informe en aparté qu’il a ouvert un compte au Luxembourg à votre nom, crédité d’un million d’euros et vous promet d’obtenir votre libération conditionnelle au plus vite.

Vous terminez donc la journée en prison, où l’on vous a tout retiré jusqu'aux chaussures. Vous passez une heure en cellule avant que vos explications ne finissent par convaincre l’officier de police de permanence de vous laisser partir - non sans vous avoir auparavant confisqué {{userData.objet_trouve}}. Quand vous arrivez au commissariat, l’officier de police de permanence vous reconnaît immédiatement. Cela ne va pas arranger votre cas...

Vous terminez donc la journée en prison, où l’on vous a retiré votre téléphone.

Soudain, une grande fatigue vous étreint. Vous vous allongez sur la couchette de la cellule. La tête vous tourne, votre cœur s’affole, puis c’est le noir complet.

Vous entendez alors un bruit dans le néant.
Ne sachant pas si vous êtes en train de rêver ou non, vous constatez qu’il s’agit en fait de votre téléphone portable.
Vous décrochez.

« Bonsoir ! »
C’est votre opérateur téléphonique. Il veut vérifier si vous avez passé une bonne journée d’anniversaire.
Alors que vous bredouillez une réponse confuse, il vous demande : C’est à nouveau votre opérateur téléphonique. Il veut vérifier si vous avez, cette fois, passé une bonne journée d’anniversaire.
« Maintenant, vous propose-t-il, revenons ensemble sur ce qui vous est arrivé, vous voulez bien ? »

« Si je vous dis que je peux vous faire revivre cette journée pour changer vos choix, mais que je peux aussi vous aider à y voir plus clair sur ce qui est arrivé aujourd’hui... Que préférez-vous faire ? »